Il a fallu attendre quelques semaines. Trois, précisément. Pour que l’indignation s’exprime.
Malgré les réticences des uns, la crainte des autres.
Défendre ces groupes de familles nomades n’est pas la cause la plus facile à défendre en France. Il y a 70 ans déjà, les rancoeurs de certains pouvaient s’exprimer plus librement, grâce à Vichy.
Il y a quelques mois, le cinéaste Tony Gatlif nous a livré son dernier film, le premier sur les persécutions subies par les gitans, en France, sous l’Occupation.
Cruelle coïncidence.
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