Il fallait le voir, l’ancien président, mardi au Salon de l’Agriculture. Evidemment usé, fatigué, peut-être malade. Peut-être un peu en forme, faussement préparé pour son procès tronqué qui démarre dans une grosse semaine, le 7 mars, pour un mois.
Il y a 6 ans, je dansais sur une excellente chanson des Wampas. J’expliquai à mes Racailles interloquées (4 et 8 ans) pourquoi une telle chanson existait. Faut-il s’acharner sur un vieil homme ? Même des socialistes comme Arnaud Montebourg, pourtant l’avocat qui mena l’une des plaintes contre le Maire de Paris, semble vouloir qu’on laisse l’ancien corrompu de la Mairie de Paris tranquille.
Aussi faut-il rappeler quelques faits, très simples.
1. C’est au tribunal de juger de la clémence nécessaire eu égard au grand âge de JC.
2. JC a tout fait, tout tenté, tout réussi de 1995 à 2002 pour empêcher la justice d’avancer. Si le procès intervient si tard, c’est de sa faute.
3. Toute faute doit être jugée. On nous le serine suffisamment.
Un commentaire ? Lâchez-vous… poliment.