« Alors tu veux un référendum ? Et bien chiche ! Vas-y mon gars, organise-le ton référendum. Et si tu perds – puisqu’on a l’habitude de perdre les référendums européens en Europe, faudra pas venir pleurnicher. Dehors, casse-toi, pas d’aide, on gardera nos milliards d’euros de prêts. Non… mais, c’est vrai quoi… Faut pas exagérer… »
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« On-a-gagné! On-a-gagné! Le peuple va parler ! Ils vont voir ce qu’ils vont voir. Leur Europe, y en a marre! Que les banquiers payent. Les peuples n’y sont pour rien. Virons ce sale social-traître du pouvoir. On l’avait cru de gauche, c’est un suppôt du FMI. Papandreou, le peuple aura ta peau !! Ton austérité, tu peux te le mettre où je pense ! Casse-toi ! Vive le peuple ! Aux armes ! Vive la démocratie ! »
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Comme d’autres confrères et consoeurs, je reste perplexe. La Grèce n’a plus grand chose à faire dans une zone euro qui l’a asphyxiée.
Mais il n’y a pas de quoi crier à la victoire populaire.
Ce n’est que le début des emmerdes.
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