En tant que Web-militant inactif de la campagne de Sarkozy, j’ai reçu un message d’encouragement et de mobilisation de Jean-François Copé.
Jean-François, cher ancien avocat d’affaires et toujours député-maire, fais attention quand tu écris à Juan de Sarkofrance. Mon adresse ne laisse pas trop de doute sur le sens de mon engagement.
Recevoir tes emails est toujours un régal.
Ce mardi 13 mars, jour fatidique, tu m’expliquas donc qu’il ne fallait pas croire les sondages mais que Sarkozy avait réussi à imposer une nouvelle dynamique… dans les dits sondages.
Joyeux exercice schizophrénique qui nous frappe tous à un moment ou à autre. Mais venant du représentant d’un camp qui finança un sondage politique tous les deux jours depuis 2007 et de façon occulte, le constat faisait sourire ou rire.
Je te cite, cher Jean-François:
« Nous n’avons jamais rien cédé à nos adversaires, nous n’avons jamais baissé les bras devant les commentaires du petit milieu parisien ou à la lecture des sondages.
Aujourd’hui, alors que nous avons enclenché grâce à votre mobilisation une véritable dynamique autour de la candidature de Nicolas Sarkozy et que cela se traduit dans certains sondages, je vous invite à faire preuve du même sang-froid et de la même détermination.«
Un commentaire ? Lâchez-vous… poliment.