Je n’en reviens toujours pas.
Le Tweetgate de Valérie Trierweiler rebondit avec une prétendue interview de Thomas Hollande dans le Point, démentie partiellement par l’intéressé, confirmée par la journaliste sur LCI.
Confirmons ici bas notre simple impression: on s’en fiche. L’affaire est inodore et sans saveur.
Je lisais, enfin au calme et en vacances, la pétition de Roosevelt2012, les avis des unes et des uns, la position des Economistes Atterrés, atterré que je suis par cette polémique qui discrédite un peu plus une classe médiatico-journalistique qui ne sait plus distingué le futile de l’essentiel.
Je tentais de comprendre les arguments des unes et des uns de quelques commentateurs de ce blog qui s’écharpent avec ardeur (non, Euterpe, je te vise pas ;-)).
Je lisais des choses importantes, donc, quand cette AFFAIRE est tombée dans ma TL comme un évènement macroéconomique majeur.
Cette affaire, on s’en fiche. Elle nous divertit le temps d’un été comme les dernières photographies des seins de Claire Chazal dans Voici (Tiens, elles sont retard, celles-là, cette année…).
La pauvre journaliste du Point s’appelle Charlotte Chaffanjon. En plus, elle a un compte Twitter d’où elle a tweeté et re-tweeté son propre article.
Quelle misère.
Un commentaire ? Lâchez-vous… poliment.