Je vais dire un truc sympa sur Macron: en Corse, il n’a pas démérité. Les élus nationalistes m’exaspèrent. Ils ont eu davantage que ce qu’ils méritaient.
Certes, Macron n’a pas été poli, il a même été hargneux dans son premier discours, mais je n’étais plus surpris tant le jeune monarque a depuis longtemps convaincu de son arrogance. Président, il aurait du être aussi de la mêlée. En attaquant l’un de ses interlocuteurs, Gilles Simeoni, ancien avocat de Colona, Jupiter a commis une faute.
Mais pour le reste, reconnaissons lui bien généreusement qu’il a renvoyé dans les choux des nationalistes qui sont coincés dans leurs postures symboliques et jusque-boutistes.
Je suis favorable à l’indépendance à de la Corse, rapide, le plus rapidement directe. Et nette, bien tranchée. Merci, au-revoir, adieu, bye bye.
Les représentants d’une communauté, qui n’ont gagné cette fois-ci que sur fond d’abstention, expriment une énième fois leur hargne contre la métropole. Macron leur a offert d’inscrire la Corse dans la Constitution.
Ces gens voulaient des symboles, ils en ont obtenu un et pas des moindres.
Pour le reste, Macron a justement renvoyé les requêtes de ces Napoléons d’opérette.
Un commentaire ? Lâchez-vous… poliment.