Donc Dominique Strauss-Kahn ne sera pas candidat. Ah bon ? Aurait-il renoncé ? Les rumeurs les plus folles ont circulé. La femme de chambre aurait été payée. Honnêtement, vu l’ampleur du dégât potentiel, c’est une piste assez sérieuse. L’affaire arrive trop tôt. Et oui. L’UMP des basses oeuvres… un zèle inattendu.
Un certain peuple de gauche s’imaginait régler le sort de Nicolas Sarkozy avec un candidat sondagier hors normes, pas candidat mais déjà vainqueur du second tour. En 2007, Ségolène Royal l’avait emportée ainsi, à gauche. Et celles et ceux qui firent tout pour saborder sa candidature de l’intérieur semblent aujourd’hui déçu que l’icône sondagière soit tombée aussi vite.
Comme diraient les Guignols de l’Info, « nous allons pouvoir reprendre une activité normale. » C’est-à-dire expliquer pourquoi il faut voter Aubry, Hollande ou Royal, Joly ou Mélenchon. Et le Monarque élyséen, qui collectionnait les casseroles DSK pour une campagne future, aura plus de difficulté à combattre un(e) adversaire normale.
Pour une fois, soyons optimiste.
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