Quand ils n’ont plus d’argument, les critiques et les trolls sarkozystes nous accusent d’obsession psychopathe à ainsi, chaque jour depuis le 6 mai 2007, chroniquer les faits et gestes de Nicolas Sarkozy et de ses proches à l’Elysée.
En fait, l’exercice est devenu une épreuve quasi-sportive. Nulle psychologie là-dedans, juste un défi devenu personnel, rester là jusqu’au dernier jour de ce premier mandat. Il m’est quasiment impossible d’en envisager un second. Non pas que je fusse convaincu que Sarkozy sera défait l’an prchain en 2012. Je ferai tout pour éclairer mes concitoyens sur cette gigantesque imposture. Mais je reste persuadé qu’il d’énormes chances de l’emporter haut la main.
Voyez-vous, à gauche, chacun a choisi de partir séparemment, convaincu que le premier tour de la présidentielle était une primaire. ça me rappelle furieusement 2002.
Cette obstination à couvrir Sarkozy de cette attention quotidienne pourrait très facilement se déporter vers quelques autres jeunes ou moins hommes/femmes politiques tout aussi détestables ou moins douées. J’ai pensé un temps m’attaquer à mon maire. En 2014, nous avons les municipales. Fichtre ! Le sujet est nationalement moins intéressant.
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