Ces images choquent.
L’ambassadeur américain à Benghazi, Chris Stevens, serait tombé dans un piège, tué par asphyxie, puis photographié et exhibé par des manifestants sans doute choisis.
Au début, on a expliqué que la diffusion pourtant confidentielle d’un film outrancier contre l’Islam avait déchaîné les passions et les fureurs. L’Amérique n’y est pour rien, sauf qu’elle abrite sans doute l’abruti créateur dudit film.
Il y aura bien certains pour pratiquer tous les amalgames, même les plus stupides.
Pour l’heure, cette affaire ressemble à un sale anniversaire d’un autre attentat, dans une Libye libérée de Kadhafi mais d’où l’Occident est rapidement parti.
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