Le premier secrétaire du PS s’inquiète d’une sécession des députés frondeurs à l’Assemblée. Rien n’est moins sûr, bien sûr. Mais le constat public du premier secrétaire est surtout un avertissement pour l’actuel premier ministre Manuel Valls qui n’a rien dit, rien fait pour convaincre.
« Je ne suis pas choqué que des parlementaires veuillent amender des textes. (…) Maintenant, quand c’est systématique, quand cela se fait de manière orthogonale à la politique gouvernementale, que c’est porté par des logos et des lettres communes, je commence à m’inquiéter d’une sécession »
Sécession ? Le mot est choisi pour faire mal. Mais il n’impressionne plus. Manuel Valls reste un premier ministre égaré.
A l’UMP, le nouveau triumvirat a viré « l’espion de Sarkozy », un gars npmmé Césari, cela ne s’invente pas.
Au Modem, l’ex-écolo Benhamias va créer un parti.
On a vu que Nouvelle Donne voulait prendre son envol depuis les Européennes.
Et nous ?
On créé un parti aussi ?
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