On fait tous des erreurs. On peut écrire, parler, sous le coup de l’émotion. On a tous nos moments de rage.
Pour l’heure, je suis stupéfait.
Filoche, que j’apprécie, a commis un mauvais tweet à la mort du patron de Total. Il sera peut être exclu du PS pour cela, ce qui est encore plus crétin. Mélenchon lui tend la mai pour le PG, ce qui est généreux et crétin à la fois.
Nicolas écrivait hier: « Je ne sais pas si vous vous rendez compte que vous en êtes réduits à regarder votre poste uniquement pour pouvoir sortir des conneries dans Twitter. »
Il a raison. On n’est pas toujours d’accord tous les deux, politiquement j’entends. Mais Twitter dérive. On doit revisiter nos équilibres. J’y ai trouvé une nouvelle fonction, que j’ignorais – masquer les tweets de celles et ceux qui ne m’intéressent plus, sans les bloquer pour autant (certains sont capables de t’en faire des billets).
Je suis tous les jours sur Twitter. Je n’écris que rarement. Certain(e)s comprendront que cette plate-forme n’est plus qu’utile que comme un fil afp. Twitter avait cette particularité de nous confronter individuellement au monde. Facebook était plus fermé, mais plus intrusif.
Il y aura d’autres réseaux sociaux, plus spécifiques encore. On y trouveras des limites, des excès.
Un commentaire ? Lâchez-vous… poliment.