Twitter en 10.000 caractères


j’ai cru à un poisson d’avril en plein janvier. Mais c’est vrai. Voici que Twitter déplafonne le nombre de caractères utilisables sur son réseau (140).

Il parait que c’est une question de survie.

Quand ces réseaux sociaux (Facebook il y a 12 ans, puis Twitter il y a 8 ans) sont apparus, gratuitement, simplement, on a crié de joie et de bonheur. Chacun réalise aujourd’hui qu’il n’y a rien de gratuit. Nos usages se paient par une captation inédite dans l’histoire de l’Humanité de nos données et de nos comportements personnels. Il semble fort probable que la génération 20/30 ans soit trop fragile ou abusée, toute émerveillée par la chose. Je suis plus confiant pour celle plus jeune, qui est née dedans, avec les premiers problèmes, les premiers abus de cette rezocial-manie.

Cette affaire de Tweets-qui-se-rallongent est une sacrée bonne nouvelle. En 140 caractères, Twitter a raccourci la pensée, aggravé les échanges, précipité les désaccords. Il est loin le temps des premiers mois du réseau quand nous échangions simplement. Twitter est devenu une caisse de résonance incroyable. Un outil formidable, certes, quand arrivent des moments graves comme els attentats de novembre. Un outil quotidiennement parfois détestable à force de subir bons mots et autres trollatiques attitudes.

Avec davantage de caractères, on peut espérer que la pensée humaine (quand elle est présente) s’exprimera avec davantage de solidité et moins de raccourcis.

Bref.

Bonne année !

 

 

 

59 réponses à « Twitter en 10.000 caractères »

  1. Entièrement d’accord avec toi.. en même temps qu’elle offrira à l’oiseau (et à ses actionnaires) une formidable machine afin de décoder le langage et la mécanique des arguties.. choses dont ils étaient à priori sevrés tant notre sagacité à rendre compte en 140 signes de nos impressions et arguments devait être un calvaire pour leurs analyses.

    C’est une révolution pour le touitteur, mais ne nous y trompons pas, il y a toujours deux faces à une médaille.

    Bonne année à toi Juan

  2. Je vais « mitiger » tes propos : les gens ont pris l’habitude de raconter n’importe quoi dans Twitter parce que les tweets sont éphémères (contrairement aux statuts Facebook et évidemment aux billets de blog). Ils vont continuer à le faire mais en en 10000 caractères au lieu de 140. Et les TL vont devenir illisibles, comme l’était devenu Facebook avant qu’ils améliorent le fonctionnement.

    1. …sans parler de ceux qui reprennent les conneries de twitter dans leurs blogs, qui deviennent ainsi le prolongement de propos sans intérêt.

      1. Pepere, tu penses à Bembelly ou à Gauche de Combat ?

        1. Je ne connais ces gens que par les longs billets que vous leur consacrez sur vos blogs; à en juger par la place et le temps que vous leur consacrez, ils doivent être très intéressants – en tous cas, très importants pour vous.

          1. Ben c’est un peu comme toi, quand je te croyais intelligent. Tout le monde peut se tromper remarque. La différence entre toi et eux, c’est qu’ils sont blogueurs. Je respecte le truc et je me fous de leur gueule en tant que blogueurs.

            1. Et bien, si vous pensiez que je suis intelligent et que je ne le suis pas, c’est bien la preuve que vous êtes bête , non ?

              1. Non. Que tu ne fais pas illusion très longtemps.

                1. Pas beaucoup le sens de la répartie, hein? Il faut vous entrainer…si possible à jeun.

                  1. Depuis le temps que tu espères persuader que tu connais mieux les réseaux sociaux que moi,.. Tu peux aussi te persuader que tu as plus de répartie et que tu es le meilleur au monde. Tu oublies un détail : tout le monde s’en fout. Tiens ! Tu es comme les andouilles qui sévissent ici. En plus tu aimes te faire insulter par elles. C’est beau.

                    1. Monsieur de Nicolas,

                      « Tu es comme les andouilles qui sévissent ici…………. »

                      encore un génie qui daigne passer quelques minutes de son précieux temps pour laisser un compliment à l’usage de l’humanité grouillante du blog.

                      Permettez moi tout de même de vous informer de l’effet déplorable que vous pouvez laisser sur des cerveaux en perpétuelle gestation ou des individus en phase d’identification au phare que vous êtes, lorsque vous écrivez « ne pas avoir le cul assez haut ». Sans doute un moment d’égarement. …

                      mais heureusement, il semble bien que cet accès de modestie n’exclut en rien que votre nombril, lui est très bien perché.

                    2. Les « andouilles qui sévissent ici » n’ont peut être plus envie de fréquenter ton blog où tu te montres grossier, prétentieux et méprisant envers tous ceux qui ne sont pas de ton avis. Tu te prétends blogueur de gouvernement mais tu ne donnes pas vraiment envie de voter PS, serais-tu un blogueur de droite infiltré ?

                  2. …et ce n’était vraiment pas la peine de me virer de votre blog pour avoir ensuite avec moi des échanges aussi interminables qu’inintéressants sur d’autres blogs… Vous ne faites pas le poids ( si j’ose dire…)
                    Et je vous laisse le dernier mot, je suis sûr que, pour vous, c’est très important…

                    1. Ben non je m’en fous. Qui commente le plus sur ce blog ? Je me fous de ta gueule mais ça faire rire seulement les commentateurs qui ne peuvent blairer ni toi ni moi. Tu devrais revoir tes pratiques des réseaux sociaux.

          2. Oui @ Élie …je ne connais pas le blog de gauche de combat mais j’apprécie celui De Bembelly ( que j’ai connu grâce à petite plume perdue…que je regrette de ne plus voir ici depuis un certain temps )

            1. SYLVIE

              ben oui tiens plus de TITE PLUME …

              1. Oui @ Stan …et depuis un bon bout de temps !

    2. @Nicolas: tu as peut-être raison. Mais ne sous-estimons pas que la contrainte du 140 caractères contraint à la formule facile. Je continue d’écrire ici des billets parce que résumer ma pensée en 140 car m’est insupportable.

  3. Où l’on risque de s’apercevoir que, pour exprimer la « pensée » de 95 % des touiteurs, 140 signes étaient largement suffisants, et que cette exiguïté même leur servait de cache-misère.

  4. comme j’aimerais que partager votre optimisme. Je pense que ça va juste donner plus de place à l’étalement de la misère culturelle de beaucoup qui se croient autorisés à vous juger sur un Tweet et pensent tout savoir de vous. Ce que vous savez, ce que vous êtes etc… Au moins 140 caractères les obligeaient à faire court…

  5. Je suis sceptique sur le nombre de gens qui se taperont la lecture d’un texte de 10 000 caractères sur twitter; pour fixer les idées de ce qui n’ont pas l’habitude : cet article de votre blog fait 1461 caractères, espaces compris.

    Pour éliminer l’expression de soi-disant « pensées » si primaires de twitter, il aurait mieux valu supprimer les textes de moins de 1 500 caractères.

  6.  » Bref…. »

    c’est un touite ça ?

    on n’arrête pas le progrès..

  7. comprends pas, en 140 mots c’est fou ce qu’on peut transmettre comme réflexions, franchement faut arrêter la mauvaise volonté

    j’ai essayé en 60 juste pour voir, restez assis c’est dense…

     » Nous sommes baisés par la finance (lire la capture page 6 à 128), sarko nous a baisé (lire un quinquennat à 500 milliards : page 1 à 135), hollande nous baise (lire Les ombres d’un président par François Bazin, page 1 à 165 pages), le FN est en train de nous baiser (lire les faux semblants du front national page 1 à 103)…

    pour se lancer sur touitter faut juste savoir quoi écrire quoi…

  8. […] secondes pour répondre à une question qui m’a été posée sur Twitter – toujours en 140 caractères, pour l’instant-: «Ah! T’as vu SapésCommeJamais de Maître Gims? Musique et promo de […]

  9. La mort de Twitter. De sa particularité… Ce n’est qu’un outil et l’humain en fait ce qu’il veut, avec tous ses mauvais côtés. J’en parlerai justement demain sur mon autre adresse… De la bonne utilisation des réseaux sociaux

  10. Je n’ai jamais considéré Twitter comme la seule de mes écritures. Le problème c’est de considerer Twitter comme antinomique au blog (propos à 140 caractères contre billet plus long évidemment). Nulle contradiction pour moi. L’avantage ( pour moi, hein ?) qu’offre les 140 caractères de Twitter est que cela t’oblige à condenser ton propos sur l’essentiel, d’allier la souplesse avec le politique ( avec dose d’humour). Bien entendu Twitter à 140 ne peut se substituer à une argumentation. Mais combien de billets qui comptent de longueurs ! Voilà pour ma position ( singulière). J’ajouterais que ces 140 caractères ( contrainte bienvenue) m’a ouvert des espaces de « littérature » en cultivant l’aphorisme (aphorismes repris dans mon blog dans les 25 billets intitulés « Elle me disait… » 🙂

  11. Twitter se fout de vous. Pourquoi brutalement 10000? Qui va passer sa journée à caser 10000 caractères pour exprimer ses contradictions.
    Des laïus interminables, vous qui lisez ti suisse, imaginez 10000 caractères.
    Déjà comme cela, 3 qui se targue d ‘avoir un blog, fiers de se virer l ‘ un l ‘autre et dans le même temps écrire le suis charlie, je suis pour la liberté de la presse, des clowns tristes se parasitant eux mêmes.

    1. Jamais viré personne de mon blog.

      1. Ben non. À chaque billet tu te plains de ne pas maîtriser la modération. Cela étant tu n’as pas de blog mais une chronique chez Mariane.

        Bah !

        1. Oui: je ne veux pas être tenu pour responsable des commentaires supprimés par d’autres.

          Il s’agit bien d’un blog, et non d’une chronique : à l’époque où j’étais chroniqueur sur Marianne, mes articles devaient être d’abord acceptés part la rédaction; celle-ci n’est plus engagée par le blog qu’elle héberge, où j’écris ce que je veux quand je veux.

          Votre idée d’un blog est très particulière : il s’agit d’un blog comme le votre, qu’aucun site de média ne juge assez intéressant pour l’héberger (comme celui de Juan ou le mien), avec des articles prolongeant des engueulades sur twitter que personne n’a suivies et que personne ne comprend, avec un minimum de lecteurs et un minimum de commentaires, et bourrés de fautes parce que tapés sur un I-Phone.

          1. Ben oui Pépere. Le blog principal du taulier est bien chez Blogger, pas chez Mariane. Il s’y transforme en chronique et tant mieux pour lui. A une époque mon blog était repris par l’Express, avec mon accord. Ça me faisait rigoler.

            Tu n’es pas blogueur. Et ma définition du blogueur colle à 99,99% des blogueurs. C’est un espace personnel où on dit ce qu’on veut.

            Tu n’es pas blogueur, mais tu as su faire illusion. Juan et moi sommes des blogueurs.

    2. Lancien, en augmentant la taille des tweets, Twitter de permettra d’y dire les mêmes conneries que dans les commentaires de blogs. Tu ne seras pas obligé de laisser 10000 caractères, tu pourras en laisser 1000 ou 2000 comme ici.

      1. lancien -ni personne d’autre- ne laisse jamais des commentaires de 1 000 caractères : son dernier commentaire fait 352 caractères, l’article lui-même de Juan 1500 caractères, le dernier article de blog (« Vive Alain Juppé et la déchéance ! « ) 3421 caractères.

        1. Oui. Continue. On parle de faire sauter la limite de 140 caractères. On se fout des 10000, qui doivent représenter 5 ou 6 feuillets A4.

          Cela étant, si tu n’as que ça à fourré de compter le nombre de caractères des billets de blog, livre à toi.

          Surtout quand il s’agit de mes blogs que tu jures ne plus suivre.

          Tu deviens de plus en plus ridicule. C’est rigolo. Rentre à la maison de retraite et laisse nous entre gens qui connaissons les réseaux sociaux.

          1. Pas lu ton certainement remarquable article : juste copié-collé sur mon Word et cliqué sur « Statistiques » pour connaître le nombre de caractères.

            Je ne me suis jamais inscrit et ne m’inscrirai jamais sur un réseau dit « social » et que je qualifierais de « réseaux pour débiles »; mais je trouve très amusants les très longs articles que tu leur consacres pour expliquer que c’est nul.

            1. Je connais Word aussi. Cela étant, quand je dis que je ne lis pas un blog, je ne vais pas voir ce qu’écrit le taulier.

              Et c’est gentil de nous expliquer qu’un blog n’est pas une élément d’un réseau social (surtout après m’avoir envoyé tant de mail pour te plaindre que tes billets n’étaient pas dans ma bloguerolle).

              Tu n’es qu’un bouffon.

              1. Propos assez incohérents, en dehors des injures habituelles et d’un tutoiement entre nous qui n’a pas lieu d’être.

                Bon : assez pollué le blog de Juan avec ces ridicules échanges avec quelqu’un que tu as viré de ton blog pour, ensuite, ne plus lui lâcher les baskets sur les blogs des autres.

                1. Propos parfaitement cohérents !

                  Et c’est rigolo que tu me parles de polluer un blog après ce que tu as fait chez moi.

                  1. Fin des échanges avec toi, y inclus sur les blogs de tes amis personnels ( hors internet) Juan et Didier Goux.

                  2. Précision pour ceux qui nous lisent (à supposer qu’il en reste…et ils ont bien tort !) : sur ton blog (tutoiement de mépris), j’ai contredit, avec force arguments et liens vers des articles, ta thèse selon laquelle le coup de la déchéance de la nationalité était un coup politique et électoraliste génial de Hollande, alors que tu es le seul encore à ne pas voir qu’il est complètement raté.

                    1. monsieur ARIE

                      non non, c’est plaisant à lire quand deux grands esprits se foutent sur la gueule, ça change un peu du vernis habituel…

                    2. @ Stanislas

                      « deux grands esprits »

                      Le bouffon et le bouffi vous remercient.

                2. Tiens bon Elie, tes articles même si je ne suis pas toujours d’accord avec toi, valent mieux que les délires du soit-disant blogueur libéral de gauche, grossier, prétentieux et méprisant.

                  1. Bien sûr que je ne me décourage pas. Il est évident que les réactions de Nicolas Jégou, qui ne supporte pas la contradiction courtoise et argumentée, ont quelque chose de disproportionné et de pathologique.

                    1. Continue à régler des comptes ici ! Je disais : aucun savoir vivre.

                    2. Décidément, Nicolas Jégou ne me lâchera jamais les baskets ! Bien la peine de m’avoir exclu de son blog :-)))

                    3. Tant que tu continueras à baver sur mon compte…

                    4. Continuez à vous enfoncer…

                    5. Ah ! Tu cites mon nom dans un commentaire et quand je te réponds, je m’enfonce… Tu fais le fier, ici ?

                  2. @ Nicolas

                    Résumons-nous:

                    1- Votre façon de venir polluer le blog de votre soi-disant « ami » Juan (je réponds à quelqu’un qui parle de vous, je ne vous parle pas) témoigne d’un manque total de respect pour lui;

                    2- Me consacrer un billet de blog intitulé « Mail à un vieux con »
                    http://www.macomete.com/2016/01/mail-un-vieux-con.html
                    et y censurer mes réponses prouve que vous êtes un pauvre type;

                    3- Les réponses aux commentateurs de votre blog, qui se résument le plus souvent à des « Bof » ou à des « Vas chier » n’ont aucun intérêt;

                    4- Vos billets de blog reprenant des échanges d’injures entamées sur twitter n’ont aucun intérêt ;

                    5- Votre façon de virer régulièrement des gens de votre blog pour crime de contradiction prouve que vous êtes un pauvre type.

                    6- Votre besoin infantile d’avoir  » le dernier mot » (que je vous laisse volontiers) prouve que vous êtes un pauvre type.

                    Tout cela mériterait une consultation dans un service d’alcoologie.

      2. Pas de chance, je ne suis pas sur twitter ni ailleurs. Je n ‘exerce mes méfaits ( pour certains) que sur le blog de juan et sous un seul pseudo.
        Je n ‘ai jamais éprouvé le besoin de m’ épancher sur des sites ne servant qu’à du commerce et à pénétrer l ‘ intimité. Comme pour fesse de bouc, je ne recherche pas d ‘amis virtuels, ma famille me suffit amplement.
        Vous ne foutez donc rien de vos journées pour être dépendant d ‘un piège à con! Vous n ‘avez pas de famille, d ‘ami, de relation pour vous croire obligé de vivre accroché à un téléphone.
        Je précise aussi que je n ‘ai pas de téléphone à trimbaler partout, ma femme en a un, c ‘est bien suffisant. Je vie ainsi très bien.
        Et vous? seriez vous capable de vivre par et pour vous même, j ‘en doute.

  12. Excuse: Le précédant s ‘adressait au pinard à capsule nicolas. Le gros rouge qui tache.
    Je tiens particulièrement à remercier Elie pour avoir été assez courageux pour compter 352 caractères dans mon commentaire.
    Avant il le lisait sans plus, maintenant il le dissèque. Quoi que pour un chirurgien….

    1. Je n’ai jamais été chirurgien, et je ne me suis pas amusé à compter un à un les caractères : il suffit de copier-coller un texte sur Word puis de cliquer sur « statistiques », qui vous indique le nombre de caractères; ça dure 5 secondes.

      1. monsieur ARIE

        je réponds ici au « bouffon et bouffi » vous remercient…

        je tiens à préciser ceci

        1° je ne connais pas ce nicolas, je ne passe jamais sur son blog, sauf hier pour ligne en diagonale les derniers textes suite à votre altercation. Je ne pense rien de ce type et je m’en fous…

        2° en revanche, j’ai réglé définitivement un passé copieux avec vous. Ce qui veut dire en clair que je continue à lire certains textes et certaines remarques, pour voir où vous en êtes sans arrière pensée…

        Juste pour dire qu’une déclaration de paix est possible sur un blog.

        1. Je ne me suis jamais considéré en guerre avec vous; c’est devenu pour moi un jeu de vous titiller, tout comme petite plume perdue me titille systématiquement, mais je n’ai jamais trouvé ça bien méchant, et il n’y a jamais eu d’injures grossières.

  13. […] SarkoFrance dit qu’il lui est impossible de penser dans les 140 caractères. Je ne contesterais pas la chose sauf à dire que son constat est singulier et qu’il y a mille autres façons de dire (d’écrire) sa pensée. Il y a quelques années, je participais à un atelier d’écriture où la première consigne d’exercice était d’écrire un texte de 15 lignes. Dans un second temps, on devait le réduire à cinq lignes en ne gardant que les mots et tournures les plus importants. Puis on avait ensuite l’obligation de les réduire encore à cinq mots pour, au final, n’en garder qu’un. Ce dernier et unique mot devait résumer les 15 lignes du départ. […]

  14. Tweet tweet tweet …Bout d’gras !

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