« Le sens de la grève à la SNCF dépasse la SNCF. (…) Il y aura moins d’arrogance. chez Macron. »
Dimanche soir sur BFM TV, François Ruffin a bien résumé l’enjeu. Il y a bien sûr le projet de réforme spécifique à la SNCF – « adapter » l’entreprise à l’ouverture à la concurrence. Il y a aussi toutes les autres luttes contre des réformes sans débat (on préfère parler de « concertation« ) ou l’absence de décision, l’immobilisme coupable comme dans les Epahds ou les hôpitaux.
La grève mardi et mercredi s’annonce massive. Les lignes les plus perturbées seront les TGV. La concertation promise par le gouvernement était artificielle. Et l’ex-directrice de la stratégie de la SNCF (2002-2007) devenue ministre des transports ne peut que déclamer son mépris et son incompréhension devant l’ampleur du mouvement de grève pour ces 2 premiers jours.
C’était drôle et cocasse.
Ce début de grève est un succès.
Gros succès du message gouvernemental chez les #cheminots. #SNCF #GreveSNCF https://t.co/4C5sZz6smZ
— Dion Jack (@DionJack2) April 1, 2018
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