Quand nous étions sur Twitter au début, ou, plus tard, mobilisé sur une cause fut-elle négative; ou, mieux encore, pour faire élire un candidat, Twitter était comme un terrain de foot ou de basket, on s’y passait la balle, on visait les buts de l’adversaire, on parvenait parfois au but.
Finalement, nous sommes parvenus à un but. Pas forcément le bon, pas forcément le dernier, mais un but. Et le jeu, avant, en valait la chandelle.
Quelques échanges récents, des constats désabusés, et certains d’entre nous ont le sentiment de naviguer à vue et surtout dans de curieuses contrées. Personnellement, il n’y a plus qu’ici que l’échange demeure, et donc, encore, encore une fois, merci à vous toutes et tous.
Mais ailleurs, chaque publication ressemble à ceci par les réactions qu’elle génère.
C’en est hallucinant.
Un commentaire ? Lâchez-vous… poliment.